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sacha distel

  • Cover me "spécial adaptation française"

    Cela faisait longtemps que nous n'avions pas entrouvert la boite à reprises.

    Cette fois j'ai jeté mon dévolu sur des reprises in french, de celles qui dans les années 60, 70 ou 80 reprenaient des grands hits du moment de manière disons personnelle voire hasardeuse.

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    La première à rentrer dans l'aréne c'est Sylvie.

    Qui ?

    Ben Sylvie les gars la femme de Jauni, la génitrice de David Halliday.

    Bon Sylvie est déjà bien connue pour son cover de "Morning Train" de Sheena Easton sous l'appellation audacieuse de "L'amour c'est comme une cigarette".

    Mais là tout s'emballe, on fait tourner les mouchoirs, on se tartine de laque Elnett et on passe la vitesse supérieure avec sa reprise à la truelle du "Sweet dreams" de Eurthymics qui devient par magie "Déprime" lui permettant d'enchaîner une ribambelle de "ine" tout au long du titre, ça devient vite génant je dois le dire.

    L'auteur du carnage est Michel Mallory parolier de Jojo (tiens donc), Mireille Matthieu, Guichard et autre Nicoletta.

     






    "C'est beau, ça a du talent" c'est ainsi que Sacha Distel nous présente élégament Véronique Samson (sympa non ?) pour ensuite s'acharner sur "With a little help from my friends" de qui vous savez.

    Il faut voir ensuite avec quel brio Sacha brouille les pistes sur le refrain et l'avale littéralement pour en recracher une reprise incroyable de médiocrité franchouillarde.

    (Pour le même prix vous avez droit à un bout d'une émission de 1972 qui me fait dire qu'avant ce n'était finalement pas mieux, surtout quand il s'agit d'Aldo Maccione, vous noterez la présentation du groupe "Il était une fois" à la toute fin, "un groupe propre" assez drôle quand on connait la fin de sa chanteuse...)



     

     

     

    Le roi du psychédélisme, de la guitare pas branchée, qui arrive de loin et qui fuit de partout, ce ne peut être que Ringo qui sublime les Buggles en 1979 avec "Le grand corbeau noir".

    Un grand classique indépassable, après ça la chanson française ne fut plus jamais la même.......

    Tout commentaire est superflu, voyons plutôt des images d'archives qui font un peu peur au cerveau.