Guillaume, La Buze, Ronnie, Benoit et Doc ont joué au BT de janvier.
Et vous ?
Vous avez jusqu'à lundi soir, à l'adresse habituelle.
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Guillaume, La Buze, Ronnie, Benoit et Doc ont joué au BT de janvier.
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A la sortie de "Somewhere" un de mes amis se demandait comment ce film a été perçu au États-unis.
Est-ce qu’il a été vu comme un film d’auteur, l’équivalent d’un Rohmer chez nous, car son rythme et son traitement semblent avoir été spécifiquement faits pour un public européen peut être plus habitué à l’errance visuelle déployée ici?
Il est vrai qu’il ne se passe guère de choses dans « Somewhere », que la parole est rare et que l’on passe pas mal de temps à contempler la tuyauterie du Château Marmont, des strip teaseuses la tête en bas ou un Stephen Dorff qui tapote des coussins en fumant une clope.
Johnny Marco, acteur un poil célèbre, vit dans un appartement tristounet (mais certainement très cher) du Château Marmont, excroissance gothiquo-hotelière à Los Angeles. Les jours passent et se ressemblent entre les coups de fil de son agent, des filles qui passent, des fêtes, des obligations professionnelles et des errances en Ferrari.
Bref Johnny s’ennuie, rien ne semble l’intéresser vraiment, sauf quand sa fille passe la journée avec lui. Son regard pétille, il parle, s’anime et met de côté son personnage d’acteur revenu de tout. Sa présence va d’ailleurs lui permettre de sortir de la routine dans laquelle il semble s’être enfermé pour bifurquer largement.
Le film nous décrit ces moments là, alternant solitude et ennui (presque) profond de l’acteur et complicité entre un père et sa fille.
A la fin du film on se demande si le personnage principal du film de Sofia Coppola n’est pas Cleo, la fille de Johnny Marco, plutôt que ce dernier.
En effet on a l’impression que ce personnage permet d’évoquer la situation de la réalisatrice dans l’ombre de son père durant sa jeunesse, père que l’on imagine souvent absent ou peu disponible quand elle en avait besoin.
Un autre personnage s’impose aussi dans l’histoire c’est celle de l’hôtel, comme pour bien montrer la place qu’il occupe dans l’inconscient cinématographique américain (cf la tonne d’anecdotes que vous pourrez trouver sur le Château Marmont) et pour lui rendre alors un discret hommage.
James Blake et son "Limit to your love" m'obsède depuis plusieurs semaines déjà.
Ce titre rachitique (voix, piano, bidouillages polaires) premier single à venir d'un album déjà grandement attendu, émane d'un anglais de 22 ans auteur de 2 EP de musique que l'on rangera dans le grand triangle des Bermudes du dubstep et autre bizarreries électronique minimalistes assimilées.
"Limit to your love" est en fait une reprise d'un titre de Feist de 2007, paru sur "The reminder"
L'original tient sans problème la route grâce à la voix de Feist, même si certains passages sentent un peu le raccord forcé et son surlignés par des cordes un peu grossières.
James Blake choisi lui l'épure.
Ce qui l'intéresse c'est le piano et la mélodie du refrain, le reste disparait, avalé par la réverb', effacé par une gomme magique.
il ne reste que des frissons.
J’ai dit toute la déception que je pensais de Massive Attack dans ces quelques lignes.
Au milieu de Legoland je me suis quand même surpris à beaucoup écouter « Paradise circus »
Pourquoi ?
Je ne sais pas, peut être pour ce piano triste et ces entêtants claps de mains.
Peut être aussi parce que ce titre répond le plus à l’idée que je me fais de ce Massive Attack devrait être dans l’absolu.
Nouvelle année, nouveau blind test.
Vous commencez à connaître la ritournelle : 10 titres à identifier, 20 points à récupérer.
Un peu de tout, de toutes les époques, de tous les styles (à noter que le titre 4 est en entier)
Version QT
Version player :
BONUS : pour 10 points qui est ce gugusse qui "chante" dans un des 10 titres.
Réponses jusqu'au 31 janvier dragibus69 at free.fr
Merci